lundi 2 novembre 2009

Qui es-tu, Émilie Dubreuil ?

Toutefois, la question devrait-être: "Où étais-je pour ne pas jamais t'avoir lu, ou plutôt ne jamais avoir retenu ton nom".

Je viens tout juste de tomber sur un papier écrit par la journaliste pigiste montréalaise. J'adore le ton. Direct, franc, dans les dents sans toutefois chercher absolument à provoquer. Tout de suite, j'ai googlé son nom pour en apprendre plus sur elle. Je tombe alors sur cet article. C'est rare qu'on lit un texte et qu'on se dit "Mon Dieu ! J'ai pensé ça tellement souvent que c'est moi qui aurait dû écrire ça". Bref, j'adore.

Qui que tu sois Émilie, où que tu sois, je vais rester à l'affût de tes textes. Je les souvourerai comme du bonbon.

2 commentaires:

Christian Pascal Dupuis a dit…

Ma chère Émilie Dubreuil, j'espère de tout cœur que tu liras ce mot qui est pour toi! Ces oiseaux migrateurs comme tu les nommes avec un cœur remplis d’ingratitude, sont l’espoir de la vie pour demain. Comment peux-tu être aveugle au point de penser que de tuer un enfant à naitre puisse être une action de libre choix? Si je tuais une femme enceinte, je serai accusé doublement de meurtre au premier degrés, et si encore je tu mettais fin de façon volontaire à la vie d’un enfant de quelque jour, je serais assassin! Quand fais-tu de ces femmes qui dans 95% des fois, pour une raison banale, martyrise la vie d’un bébé sans défense et sans voix? Si tu prends plaisir à ridiculiser ces gestes posés par amour du plus petit, sache que c’est à ta perte et que tout ce qui monte, redescend! Tu as des yeux mais tu ne vois pas, des oreilles mais tu n’entends pas! Si tu n’as pas la sagesse de prendre la parole pour celui qui est faible, ne détruit pas les âmes généreuses qui donnent gratuitement de leur temps pour nous rappeler la valeur de la vie! Je m’uni à ces oiseaux migrateurs pour te dire avec amour, détourne toi de la mort que tu cultives et ouvre les yeux à la beauté de la vie!

Anonyme a dit…

HAHAHAHA le cardinal Turcotte a une double identitée